2 févr. 2007

Quelques heures d'avion puis la douane...

Un premier vol vers Paris où le dilemme portait sur le choix entre le mélange sucré et le mélange salé. Mais pas de jus de pomme, du multifruits à la place...

Le vol suivant incluait un repas et comme je l’avais deviné nous avons eu le choix entre poulet et poisson. J’ai donc opté pour du colin (sic !) au curry avec riz au pavot.
Pas de chance, mon écran individuel ne me donnait accès qu’aux films, je n’ai donc pas pu améliorer mon score au Solitaire…
Après un peu plus de 7h de vol et le visionnage de quelques extraits de films, notre Boeing s’est posé sur la piste du JFK International Airport.

Ensuite, la réjouissance douanière a duré plus d’une heure et la queue a fait émerger une idée, dont nous pourrions développer le business plan. Par contre, je pense que les autorités américaines nous y répondraient avec un merveilleux : « Noooooo way ! ».
Cette idée lumineuse consistait à mettre à disposition des voyageurs étrangers dans la queue à la douane, un rail comme dans les restaurants japonais, sur lequel seraient posés des verres d’eau et, en-dessous, des crochets permettraient d'accrocher les bagages à main (afin d’éviter de les pousser du pied dans la queue et ainsi de nettoyer le sol de l’aéroport).

29 janv. 2007

Le rêve américain est maintenant à portée de main… tout proche. Reste à configurer la carte « anglais » dans mon cerveau, à charger la batterie de l’appareil photo et la gaufrette musicale, à boucler les bagages et bien sûr à mettre consciencieusement le passeport dans la valise (pour mettre un peu d’animation à la douane).

Je m'envole demain matin pour Paris puis New York et son aéroport JFK. Ça va donner quelque chose comme ça : “Welcome aboard this flight operated by Travelino Airlines to New York Grosse Pomme Airport...”
Peut-être y aura-t-il des écrans individuels où je pourrai m’adonner avec passion à un tournoi de solitaire seul contre moi même ? Il y aura certainement un bon film du style « Everything’s great in Yes-Yes Land! » (Traduire littéralement dans le texte, « Tout va pour le mieux au pays de Oui-Oui »).
Je me réjouis déjà de la question capitale que va me poser l'hôtesse ou le steward et qui monopolise toute mon énergie à la minute où je pénètre dans l’avion : « bœuf ou poulet ? ». Avec un peu de chance, il y aura du poisson, qui sait ?

Notre atterrissage est prévu deux heures après notre départ de Paris… la magie des six heures de décalage horaire avec la France. En hiver, lorsqu’il est midi à Paris, il n’est même pas encore l’heure de prendre le ptit déj’ à New York… En parlant de nourriture, j’ai profité de mon dernier vrai repas français… en dégustant un délicieux minestrone !